Tentant de suivre l'itinéraire de ses ancêtres depuis l'arrivée de Robert Caron à Québec, en 1634, l'auteure décrit avec émotion et sur un ton anecdotique les traditions locales de la Mauricie. Récit qui tient à la fois de la chronique et de la littérature. 1993.
Ne connaissant pas la Beauce avant d'y vivre, Madeleine Ferron, y a posé un regard tout neuf, enregistrant alors les particularismes, les incidences, les détails nouveaux, les secrets dévoilés, la gamme des nuances et des sons qui circonscrivent et témoignent de l'originalité d'une région.
Madeleine Ferron rassemble dans ce nouveau recueil douze histoires où, à travers la variété des personnages, s'expriment les grandes ambiguïtés de la vie et de la sensibilité contemporaine: l'amour dans lequel se cachent l'ironie et la petitesse, le bel attachement familial qui est fait autant de mensonge que de confiance et le passé d'ou remontent les souvenirs et les fantômes. 1989.
Les douze nouvelles de Madeleine Ferron ici réunies composent ensemble une suite de variations sur le thème de l'amour perdu. Partout, dans ces nouvelles, l'émotion jaillit d'une écriture simple, directe, éclairée par une tendresse constante envers les êtres et la singularité de leur aventure. 1987.
Une satire de la société canadienne-française, de ses habitudes religieuses et politiques, de son attachement aux traditions. Le héros, au seuil de la quarantaine, abandonne son épouse pour tenter de trouver le véritable amour.
Quinze nouvelles parues en 1977, centrées sur la condition féminine. Des héroïnes dont le désir d'émancipation, d'autonomie s'accompagne d'une recherche d'équilibre (en particulier entre les sexes).
Madeleine Ferron se révèle éminemment réaliste et s'amuse à décrire, minutieusement mais sans folklore, des situations de tous les jours : le mariage et le voyage de noces, la rentrée scolaire, la partie de cartes, la distribution du courrier à la campagne, la veillée funèbre, l'encan...